L’ORPHELINAT
de Matthieu Haag



DOSSIER DE PRESSE


Documentaire ◦ 2017 ◦ 1H10 ◦ France ◦ n° 149.773  ◦ Production ▹ Les films de la main heureuse ◦ Distribution ▹ Atmosphères production ◦ Grand prix du meilleur film documentaire du MIFF 2018  ◦ Soutenu par l’ACOR - Association des cinémas de l’ouest pour la recherche.

Sortie nationale ▹ 27 mars 2019


  SYNOPSIS


❝ Petit fils d'une immigrée slovaque venue en France à pied, je ne me sens nulle part chez moi. Lors d'une errance au Vietnam, je fais la rencontre d'un père adoptif en série, Monsieur Vu Tiên, qui me confie son histoire alors même que je ne parle pas sa langue. Débute alors un parcours initiatique sur ma place d'homme, et de père, fait de rencontres et de révélations. 

Matthieu Haag, réalisateur

❝ Grandson of a Slovakian immigrant who came to France on foot, I don’t feel at home anywhere . Whilst wandering in Vietnam I met Monsieur Vu Tiên, a foster father to many, who entrusted me with his life-story even though I could not speak his language. There started a journey of discoveryabout my place as a man and as a father through encounters and revelations.  

Matthieu Haag, director


FESTIVALS, PRIX


Zoroaster First Italian-Azerbaijan Film Festival 2019, Baku, Azerbaidjan

▹ Sélection officielle, Meilleur documentaire international

Great Lakes International Film Festival 2018, Cleveland, USA

▹ Sélection officielle, Grand prix du meilleur documentaire

Martinique International Film Festival, Martinique/IFF 2017

▹ Sélection officielle, Grand prix du meilleur documentaire

Nyon, Visions du réel 2018, 49e Festival international de cinéma

Sélection à la Media Library

Olonnes film festival, 6e Off 2018 du cinéma autobiographique

Vietnam Hanoï, 9e Festival du film documentaire Europe 2018 (EUNIC — European Union National Institutes for Culture)

 L’Orphelinat représentait la France

au festival Europe - Vietnam 2018 coordonné par Wallonie-Bruxelles



FICHE TECHNIQUE


Production : Les films de la Main Heureuse

Année de réalisation : 2017

Durée : 1H10

Format Image : 2K/HD, 16:9

Son : 5.1, 3.0, stéréo

Langues : vietnamien, français

Versions : VOSTF français, VOSTVN vietnamien, VOSTE anglais, VOSTFVN français et vietnamien

Images par seconde : 25 fps en original

Supports du film : DCP, fichier numérique ProRes422HQ, fichier H264 (mp4,mov), DVD

N°Visa : 149.773

Distributeur : Atmosphères production

        

Sortie nationale :  27 mars 2019


GÉNÉRIQUE DÉTAILLÉ


Réalisation : Matthieu Haag

Image :  Loïc Jallu, Matthieu Haag

Prise de son : Ludovic Marion, Corinne Roy, Ngô Binh Giang

Assistante réalisation : Vy Thuy Nguyen

Montage : Matthieu Haag

Montage son : Julien Gerber

Mixage : Florent Lavallée 

Musique originale :  Joann Guyonnet

Étalonnage : Thibault Arbre

Conseillères narration : Françoise Widhoff, Virginie Legeay, Julie Lena

« Que tout le monde mange à sa faim, s’habille selon ses besoins, et ait droit à l’éducation. »

« Let everyone eat their fill, dress according to their needs, and have the right to education.. »

Ho Chi Minh, 1969


ENTRETIEN AVEC MATTHIEU HAAG


propos recueillis par Yannick Lemarié

(extraits ; texte intégral ici)

« PARCOURIR LE MONDE POUR TROUVER SA PLACE »

DANS LE MAGMA DE LA CRÉATION D’UN DOCUMENTAIRE


Yannick Lemarié : Peux-tu nous dire comment s’est fait le film ?

Matthieu Haag :Je vais au Vietnam pour toute autre chose que ce film, puisque je pars là-bas pour réaliser un film institutionnel sur la francophonie qu’une ONG m’a commandé. Comme elle ne peut pas me payer, j’accepte à la condition que je puisse rester deux semaines supplémentaires sur place avec mon ingénieur-son et mon chef-opérateur. J’utiliserai ce temps pour un projet personnel. J’avais déjà l’expérience d’un tournage à l’étranger – au Liban plus exactement, avec mon court-métrageUn parfum de Liban – et je m’étais rendu compte, à cette occasion, que, dans l’urgence, je pouvais être plus efficace. Les défauts d’un scénario moins abouti, car écrit rapidement, sont en effet compensés par l’énergie du tournage. J’avais, en tout cas, cela derrière la tête.

À ce moment-là, tu penses réaliser une fiction ?

J’avais envie de raconter l’histoire d’un père qui, proche de la mort, invite son fils à aller dans la montagne afin de le préparer à assumer la charge de la famille, comme le veut la tradition vietnamienne. Il est incapable de parler, mais le fils comprend l’essentiel, malgré les silences. Je fais des repérages, établis un plan de travail pour ces quinze jours, et, avec l’aide de réalisateurs amis, me mets à la recherche des comédiens. Pour le rôle de l’enfant, on me conseille de suivre l’exemple des gens sur place, c’est-à-dire d’aller à l’orphelinat de Monsieur Vu Tiên. « Si tu promets que l’enfant sera bien nourri et que tu acceptes de faire un don, même modeste, à l’orphelinat, Monsieur Vu Tiên acceptera volontiers car il considère que cela fait une expérience pour ses pensionnaires.» Je me rends donc à l’orphelinat, avec ma traductrice. Après un rapide échange, Monsieur Vu Tiên accepte que le rôle de l’enfant soit joué par le petit Kiên, que j’avais repéré en entrant. Malheureusement, il est déjà occupé pour les trois jours de tournage que j’avais retenus, car il doit passer un examen qui valide son entrée dans la grande école.

Le tournage aurait pu s’arrêter là…

Exactement. Monsieur Vu Tiên m’explique qu’il est attaché à ce passage initiatique et qu’il ne peut priver l’enfant d’un moment qui va le structurer. Puis, pour mieux expliquer sa position, il raconte sa vie : lui-même a perdu son père quand il avait sept ans, etc., etc. La conversation achevée, mon équipe et moi nous levons et sortons de l’orphelinat. J’interroge alors ma traductrice pour qu’elle me précise ce qu’elle n’avait pas eu le temps de traduire.

À mesure qu’elle me déroule la vie de Monsieur Vu Tiên, je me dis que le vrai film – authentique, profond, humain – est là. Je ne me vois plus réaliser une fiction un peu futile alors que ce qui m’est proposé est mille fois plus puissant que ce que j’ai imaginé. Une heure plus tard, je sonne à nouveau à la porte de l’orphelinat et je propose à Monsieur Vu Tiên de faire un documentaire sur lui. Il accepte.

Sans discuter ?

« Il y a trente enfants dans l’orphelinat, me dit-il, quatre personnes de plus ou de moins, ce n’est pas un problème.» J’arrive en fait à un tournant de la vie de cet homme : il a 73 ans, il éprouve sans doute le besoin de laisser une trace.

(…)

Une autre rencontre va être déterminante.

Après ces deux semaines, je reviens en France et je mets tous les rushes dans un tiroir. Pourquoi ? Le projet me semble maintenant trop compliqué. Mais lors d’une soirée, je rencontre un Vietnamien de 73 ans avec lequel j’engage la conversation. Il n’est jamais retourné dans son pays depuis cinquante ans. Il en est tellement amoureux qu’il craint de ne pas le retrouver tel qu’il l’a quitté. Et il me propose de traduire les conversations avec Monsieur Vu Tiên. Il voit cela comme un cadeau : cela lui permettra, en effet, de renouer avec sa patrie, de percevoir son énergie nouvelle et, peut-être, d’y trouver la force de retourner là-bas, un jour.

Dès lors, tous les soirs, je reçois un mail avec les traductions de la journée. Au bout de plusieurs semaines, je commence à avoir le résultat de tout ce que j’ai vécu au Vietnam et que je n’ai pas compris ! Je prends conscience que le contenu donne encore plus de force à ce que j’ai pressenti. Je décide donc de repartir là-bas dès que possible, car je sais dorénavant que je finirai le film.

Un an plus tard, sans avertir Monsieur Vu Tiên, je sonne à nouveau à sa porte. C’est lui qui m’ouvre. Il m’avouera plus tard que ce second séjour a été pour lui la preuve que je ne le trahirai pas et que je ne profiterai pas de sa générosité pour faire un film superficiel. À partir de là, son discours change ; il va au-delà de ce qu’il sert à tout le monde ; il n’est plus en représentation. La preuve de ce changement : sur les soixante-dix minutes du film, il reste dix minutes de la première année – laphase d’apprivoisement mutuelle – et soixante minutes de la seconde. Impossible par exemple d’avoir la séquence du cimetière d’emblée, car je rentre dans la vie des gens et, plus encore, j’arrive dans la vie des morts ! Ce n’est qu’à l’issue de mon deuxième séjour que Mme Vu Tiên me propose de venir avec elle et accepte que je filme le culte des ancêtres.

À quel moment ta propre vie s’est-elle arrimée au film ?

Tout ce que je dis dans le film a été conscientisé a posteriori.Quand je vais au Vietnam la seconde fois avec ma compagne, nous sommes traversés par des questions qui restent à l’état de non-dits : l’impossibilité d’avoir un enfant ensemble, l’adoption, l’ascendance, la descendance… A cet instant-là, je ne pense pas m’exposer autant dans le film. Mais, au même moment quasiment, des images resurgissent duchapeau familial. Mon oncle m’appelle un jour pour me parler de petits films qu’il avait tournés autrefois. «Quelles images ? », lui demandé-je, interloqué. Et je découvre alors une heure de rushes que je n’avais jamais vus et dont je n’avais jamais entendu parler. C’était une découverte absolument folle ! J’ai de vraies images familiales, de vrais visages familiaux, qui sont absolument neufs pour moi ! C’est alors une évidence : l’Orphelinat sera autobiographique.

L’idée directrice était trouvée auparavant, mais à cet instant, tout se met en place. Je peux enfin parler de descendance et d’ascendance, de grands-parents, de parents et d’enfants, bref je peux traverser l’arbre généalogique. Comme je suis la pièce intermédiaire, je dois faire entendre ma voix, d’où la décision de recourir à la voix off.

DANS LE LABORATOIRE DE LA RÉALISATION


[…]

Rythme de la voix off, rythme de la parole, rythme des émotions…

Comme j’enregistre ma voix au fur et à mesure, cela me permet de jauger les silences, En fait, je n’ai pas travaillé sur ce que les gens disaient, mais sur les moments où les gens ne disaient rien. Je monte sur les souffles, je coupe sur les silences. Je prends lentement conscience que je construis le film sur les vides et non pas sur les pleins. Je pense le film comme une partition Ce n’est pas une portée en croches mais plutôt en blanches ou en rondes. Je privilégie les hiatus, les distorsions, les oppositions, les contradictions, les interstices : douceur à l’intérieur de l’orphelinat, brutalité à l’extérieur. Quiétude dans la maison, violence quand on en sort. C’est comme si on avait le piano à côté de la grosse caisse. J’ai vraiment ressenti cela et voulu travailler dans ce sens.

La bande-son a été particulièrement travaillée.

J’ai ajouté des sons toujours discrètement. Le bruit de la porte au début est une façon de mettre le spectateur en alerte. Va-t-on l’ouvrir ? La fermer ? De même, la sonnerie du téléphone au moment où la mère de Kiên retrouve son fils, est une façon d’instaurer un micro-suspens : va-t-elle répondre au téléphone ? Va-t-elle sortir du cadre ? Autre exemple : quand Kiên construit son piano, on entend un orage qui gronde. Tous ces ajouts sont imperceptibles, mais ils mettent le spectateur en alerte. Ils instaurent unéquilibre instable, qui m’intéresse d’autant plus que, loin d’établir les choses, il les met dans un certain état de fragilité.

C’est un moyen aussi d’installer une menace.

Je vis cette menace avec l’arrivée de la mère à laquelle je ne m’attends pas du tout. Je suis dans le fantasme d’une adoption et la réalité me rattrape. J’avais déjà connu cela lors de la première rencontre avec Monsieur Vu Tiên : alors que nous étions tous autour de la table, d’un seul coup tout le monde s’est levé. Je comprends que je n’ai pas les codes. Il faut donc que je m’adapte et que je suive le mouvement : puisque tout le monde se lève, je n’ai plus qu’à me lever. En fait, ce film est nourri de cette expérience organique, parfois inconfortable, que j’ai vécue et que j’essaie de transmettre aux spectateurs.

Entre pudeur et impudeur, l’équilibre du film se joue là aussi ?

Durant mon travail, j’ai vu et revu en boucle La pudeur et l’impudeur d’Hervé Guibert. Je prends des risques tout en me demandant à quel moment je vais trop loin. Personne n’a la réponse. J’ai à ce propos une anecdote. Dans une séquence, on voit les enfants dormir et, pour accompagner cette image,j’avais écrit deux lignes de voix off, poétiques et respectueuses. Or, je décide de supprimer cette voix quand je mesure le caractère insupportable de ma présence. Des enfants dorment et quelqu’un parle durant leur sommeil ! Je ne veux pas être le héros de cette histoire, je ne veux qu’accompagner le spectateur. J’ai tout fait pour être un simple passeur. Partant de là, j’ai tout mis en œuvre pour exister sans être intrusif. Cela vaut pour la voix off comme pour la caméra qui reste la plus discrète possible.

Il n’y a pas de gros plans par exemple ou très peu.

J’ai demandé une focale (50 mm) qui obligeait à rester à une distance respectueuse et qui maintenait un équilibre par rapport aux gens que je filme. La charte éthique était établie ainsi

Si le film parle de famille, il en montre la fragilité.

C’est cela : fragilité humaine, fragilité de l’ascendance, de la descendance, fragilité familiale. La seule scène où je suis présent dans le plan, c’est celle du bras de fer. On me l’a reproché. Je l’assume complètement : si en tant que cinéaste je n’ai pas à entrer dans le cadre, je peux me le permettre à ce moment-là. D’une certaine façon, je suis le père qui joue avec son enfant. Un père qui disparaît (à l’image comme dans la bande-son) dès que, dans le plan suivant, la mère du petit Kiên surgit, et qui ne revient, timidement, qu’au départ de cette dernière…

Cette fragilité, je l’ai connue aussi comme réalisateur. J’ai pris conscience qu’on ne sait pas forcément où on va, quand on fait un film. Comme un alpiniste sur les parois de l’Everest, on avance petit à petit sans voir le sommet. De cette fragilité, je fais dorénavant une force : même si j’ignore quelle voie emprunter pour faire un film, je sais que j’arriverai à dire ce que j’ai en tête. Les histoires de transmission sont le cœur de mon questionnement. C’est une évidence pour moi maintenant.

Propos recueillis en décembre 2018 par Yannick Lemarié (critique, Positif)  © ACOR

Lire l’entretien intégral ◦  Voir l’entretien (vidéo) ◦ Lire aussi Trouver sa place, par Yannick Lemarié © ACOR


MATTHIEU HAAG


Matthieu Haag (45 ans),  est réalisateur, producteur, scénariste, directeur de la photo et monteur. Il enseigne la réalisation en classe préparatoire Ciné-Sup au lycée Guist’hau de Nantes. L’Orphelinat est son premier long métrage.



2017 L’Orphelinat  France    documentaire   1H10    Produit par Les  films de la main heureuse  ◦  Distribué par Atmosphères production     Sortie nationale le 27 mars 2019.

❝ Petit fils d'une immigrée slovaque venue en France à pied, je ne me sens nulle part chez moi. Lors d'une errance au Vietnam, je fais la rencontre d'un père adoptif en série, Monsieur Vu Tiên, qui me confie son histoire alors même que je ne parle pas sa langue. Débute alors un parcours initiatique sur ma place d'homme, et de père, fait de rencontres et de révélations.❞  (Matthieu Haag)

Festivals Martinique International Film Festival, Martinique IFF 2017  Sélection officielle, Grand prix du meilleur documentaire Nyon, Visions du réel 2018, 49e Festival international de cinéma  Sélection à la Media Library   Olonnes film festival, 6e Off 2018 du cinéma autobiographique   Vietnam Hanoï, 9e Festival du film documentaire Europe 2018 (EUNIC — European Union National Institutes for Culture) L’Orphelinatreprésentait la France au festival Europe - Vietnam coordonné par Wallonie-Bruxelles.


2014 Un parfum de Liban  France / Liban  13’  fiction  avec Rafic Ali Ahmad, Rita Hayek, Nicolas Mouawad ◦ Visa N° 136.950 ◦ auto-produit.

Naim retrouve à Beyrouth une fill qu’il croit être on amour de jeunesse.

Festivals 42 sélections dont Mpumalanga (Afrique du Sud)  Côté courts Paris, Fenêtre sur courts Avignon, Armoricourt, Festiciné Lussac, Ciné en liberté Toulon, Off Olonnes… (France) Bolgatty (Inde)  Bagdad (Irak)   Beyrouth, Tripoli (Liban) Faro (Portugal)  Londres (UK)   Cleveland, Houston, Érié (USA).  

Prix Cleveland, USA, Great Lakes Festival, Grand prix  Festival de Binic, Prix d’interprétation féminine Festival de Fontainebleau  Festival d’Auch, Grand prix du jury    Érié, USA, Grand prix du festival.


2012 État des lieux France  9’  fiction  avec Grégoire Leprince-Ringuet ◦ Visa N° 133.983 ◦ Produit par Atalante production.

Au moment de l’état des lieux, un homme revient l’histoire de sa maison.

Festivals Festival de Mâcon, Prix du public Lussac Bischeim Hellemmes Montboucher/Jabron Olonnes/mer ◦ Senlis.


2011 Indélébile France  8’  fiction/expérimental ◦  co-réalisé avec Thibault Arbre  avec Matthieu Haag, Aure Lebreton ◦ Produit par Surexprod.

Martin ne parvient soudain plus à effacer son passé.

Festivals Auch Bischeim Boulogne/mer Cendrieux Gujan-Mestras ◦ Monistrol/Loire  Voreppe.


2007 L’isolement France  19’  fiction  avec Alexandre Chabot ◦ HDV ◦ N&B  ◦ Produit par Surexprod.

À quelques heures de son entrée en scène, Alex, champion d’escalade, doit subir l’isolement. Une pièce qui s’emplit peu à peu de sueur, d’espoirs et de concentration.

Festivals Festival de Mâcon, Prix du public Lussac Bischeim Hellemmes Montboucher/Jabron Olonnes/mer ◦ Senlis.


Publications

Revue Bouts du Monde n°31 :

Carnet de tournage

Place Publique n°66 :

La fabrique du film L’Orphelinat, enfant de Matthieu

Exposition photographique autour du film

Dans le cadre de l'événement international Aux Cœurs du Vietnam organisé par l'association nantaise AVLA dans l'espace Cosmopolis, le film a donné lieu à un accrochage de Polaroïds Grand Format. Douze clichés (une demi seconde de cinéma…) exposés pendant trois semaines dans un espace dédié, retraçant l'histoire de M. Vu Tiên. Exposition collective avec Sébastien Laval et Anne Brisse.


CONTACTS


Distribution

Atmosphères production

Antoine Glémain

(33+) 6 07 91 52 85

antoine.glemain@atmospheresproduction.org

Production

Les Films de la Main Heureuse

3 rue Beauregard

44000 NANTES

lorphelinat.lefilm@gmail.com

mainheureuseprod@gmail.com

L’Orphelinat de Matthieu Haag ◦ Dossier de presse © Atmosphères production, 2019